Arnaud Zacharie

Je vais traiter le sujet duquel ils ont parlé à l’émission de « Le Bar de l’Europe » Arnaud Zacharie et Paul Germain, le présentateur.

Arnaud, économiste belge, il est secrétaire général de CNCD-11.11.11., un centre qui regroupe près de 90 ONG qui travaillent sur le développement des pays du sud. Le présentateur lui a offert du chocolat, car Arnaud va en mettre en vente avec d’autres produits en faveur du développement durable au Sud. Ce chocolat a un très bon goût, pas amer, bio et engagé avec le commerce équitable et le développement durable.

Il a remarqué que le trois-quarts de la population n’a pas accès au système de protection sociale, le reflet des inégalités dans le monde (beaucoup de pays n’ont pas ce système).


Les Nations Unis ont 17 objectifs de développement durable qui devraient mettre fin à la pauvreté. Parmi ces objectifs, la nouveauté est qu’on ne se baisse seulement dans les problèmes de la société, mais aussi dans les problèmes du développement durable.

Après le premier dialogue, le présentateur a montré une vidéo des citoyens (10 000 à peu près selon Arnaud) qui ont sorti aux rues pour se faire écouter et pour demander au gouvernement les issus du climat, pour que les politiques prennent des bonnes décisions au sommet célébré à Paris.

Le réchauffement climatique frappe, affecte sur tout aux pays du Sud mais ils sont les moins responsables, c’est une injustice ! Par exemple l’Afrique Subsaharienne.
 Les pays plus développés ne s’engagent pas avec les plus affectés, car l’adaptation au réchauffement climatique coûte environ 100 000$ ; c’est une question politique et morale.


Il faut un accord qui engage également les pays émergents pour arrêter les usines plus polluantes, les émissions de gaz à effet de serre.
Les deux pays plus coupables sont les EEUU et la Chine. 

Le traité transatlantique (Tafta ou TTIP) englobe l’Union Européenne et les États-Unis, et c’est un accord commercial qui vise à créer la plus grande zone de libre-échange du monde (elle représenterait le 50% du PIB mondial). La traité veut réduire les droits des douanes pour faciliter les importations et les exportations. Il veut aussi régler des secteurs comme le textile, les pesticides, les technologies de l’information,…